« L’hôpital en soi est de classe A. »
A l’âge de 31 ans, Anatoliy Z. de Pavlikeni, en Bulgarie, apprend qu’il a une tumeur du médiastin. Les examens effectués en Bulgarie, révèlent que la formation maligne est située entre les deux poumons et que sa taille est celle d’une boîte a cigarettes. Les médecins en Bulgarie le soumettent à une chimiothérapie, mais après seulement quelques séances ils constatent que la tumeur croît au lieu de disparaitre. En Bulgarie, l’application de la radiothérapie lui est refusée de crainte d’affecter les poumons et causer des dommages durables à ses organes sains.
Un ami d’Anatoliy lui conseille l’Anadolu Medical Center et il prend rapidement la décision d’aller à l’étranger pour se faire soigner. Malheureusement, les médecins à Istanbul confirment le diagnostic. Les résultats des examens médicaux sont interprétés par le chef du département d’hématologie, le professeur Zafer Gülbaş. Le traitement que le professeur lui prescrit commence par des séances de chimiothérapie avec des médicaments puissants. Il subit plus de 50 perfusions, suivis d’une radiothérapie. Contrairement aux médecins bulgares, selon lesquels la radiothérapie est impossible pour une tumeur d’une telle taille, les experts de l’Anadolu Medical Center sont catégoriques que sans la radiothérapie le traitement ne sera pas réussi. Le professeur Kayahan Engin lui fait subir plus de 20 séances de radiothérapie avant la plus grande épreuve, la greffe de cellules souches.
« Après avoir eu les résultats des examens et lorsque mon plan de traitement a été établi, moi et le professeur Gülbaş, nous avons discuté de la situation. Il m’a dit : « cela dépend de vous, si vous êtes capable de supporter cela, si vous êtes fort et résistant psychologiquement alors, rien n’est impossible. C’est votre corps qui doit résister. Vous devez être fort. Je crois en vous! », témoigne Anatoliy et il continue : « L’hôpital en soi est de classe A. Quelle disponibilité, quels équipements modernes et quel confort ! J’ai eu de la chance dès la première fois », sourit-il.
Deux ans se sont déjà écoulés depuis la greffe. La probabilité que la tumeur revienne est très faible. Anatoliy continue à faire les examens de contrôle régulièrement et sa vie continue avec son rythme habituel. Sauf qu’aujourd’hui, comme il dit, il croque la vie à pleines dents.